Une règle chez LEONARD PARLI : Former sur place des personnes, sans connaissances particulières de la fabrication du calisson, afin qu'ils ne soient imprégnés que du savoir-faire PARLI !
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Un personnel autodidacte et fidèle
2 exemples: Nous avons interviewé Redda Bessaghaier et Jean-Claude Bellini (Confiseur), qui ont la plus grande ancienneté dans la Maison.
Depuis combien de temps sont-ils employés chez LEONARD PARLI ?
- Redda est arrivée l'année de son bac littéraire.
- Jean-Claude est arrivé peu de temps après.
Comment sont-ils arrivés chez LEONARD PARLI ?
- Pour Redda, par hasard ! Redda devait accompagner sa petite sœur pour un rendez-vous chez le médecin. En sortant de la consultation, Redda, voulait lui offrir une belle sucette pour la récompenser d'avoir été sage.
Elle est donc rentrée pour la 1ère fois dans la boutique LEONARD PARLI, qui se trouvait tout près. C'est à ce moment là qu'elle a rencontré Mme Adèle Parli-Maucort, qui lui a offert l'opportunité de devenir "calissonneuse" . Le lendemain, Redda recevait la proposition de poste par écrit. Elle ne connaissait pas le calisson et en avait goûté une seule fois, à l'âge de 7 ans.
- Jean-Claude, lui, avait une formation de boucher mais cet environnement ne lui convenait pas. Pourquoi pas s'orienter vers la confiserie ?
Comment ont-ils appris la confection du calisson ?
- Redda a été formée sur place par Mme Paoli, Chef de l'atelier de l'époque (qui travaillait chez Léonard Parli depuis 1958). A l'époque, il fallait être opérationnel très rapidement car les employés étaient rémunérés à la semaine. Redda a donc appris à faire fonctionner la machine manuelle (à main et à pédale), utilisée jusqu'en 1976. Ensuite, ce fut la 1ère machine semi-automatique. A partir de 1990, son poste s'est diversifié: démonstrations sur les salons, vente au magasin, emballage... Redda est maintenant Responsable de la boutique rue Gaston de Saporta à Aix en Provence.
- Jean-Claude a appris le métier progessivement sur place, comme Redda ! Il a d'abord été formé à l'émondage et au blanchiment des amandes, à leur tri manuel. Il s'est occupé de confire les fruits, de faire la pâte à calissons, de fabriquer les chocolats, et manier la machine à calissons...quelle polyvalence ! Jean-Claude est aujourd'hui Confiseur de la fabrique.
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